jeudi 15 novembre 2012

Garde-barrière

Une dame nous parle de son travail :
"A Murat, j’étais garde-barrière. Dans ma chambre j’avais toujours trois réveilles, j’avais peur de m’oublier. Le premier train passait vers 5h30, et le dernier vers 23h. Parfois je faisais jusqu’à 300 ouvertures de barrières, je n’avais même pas le temps de préparer à manger."